30 mai 2012
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Juchée sur les plus hautes marches du FMI, Christine Lagarde, déesse du Capital, ne discerne plus la misère du peuple. En tant que gardienne des richesses du monde, elle accuse sans distinction les petits et les grands. Tous doivent faire des efforts, être solidaires. La souffrance ici reste silencieuse, seul l'argent est roi au royaume des banquiers et des multinationales.