Non, il n'aura pas à porter sa croix jusqu'au Mont de Golgotha ! Son calvaire s'arrêtera le 6 mai au Palais de l'Elysée. Ce n'est pas une crucifiction qu'il attend là bas, mais bel et bien une victoire. Pour y parvenir, il est contraint de trainer une croix qui s'alourdit de jour en jour sous le poids d'un passé qu'il n'arrive pas à effacer. Nous l'avons vu faire pénitence, c'était de l'auto flagellation en direct sur France 2 avec des méa culpa à ne plus en finir. Ses regrets étaient immenses mais il était excusable, car au début de son mandat, il n'avait pas encore atteint l'âge de raison, celui qui nous montre le chemin à suivre lorsqu'on arrive aux plus hautes responsabilités. Nous pourrions dire que ce sont là des erreurs de jeunesse. Pour ne rien arranger, son couple était alors en train d'exploser. Heureusement qu'il trouvera quelques 8 mois après sa séparation, un réconfort bien mérité auprès de Carla. Aujourd'hui, le voilà persécuté par de multiples tortionnaires. Son principal rival est le plus ignoble de tous, il n'hésite pas à le trainer plus bas que terre et pourtant notre noble Président n'a eu aucune parole déplacée à son encontre. Jamais il se serait permis de le traiter de mou, de candidat sans projet. Les "capitaine de pédalo", "flamby", "babar", et on en passe, ça ne vient pas de lui, mais de quelques éléments non maîtrisés au sein de l'UMP.
Oui, Sarkozy n'est définitivement plus le Président des riches, mais c'est le représentant du peuple comme il se définit lui même, l'ami des pauvres. C'est décidé, touché par ce coeur qui s'ouvre aussi spontanément, cette franchise si émouvante, mon choix est définitivement fait pour les élections. Devinez !