C'était jeudi 22 décembre, Nicolas Sarkozy a ralisé une visite au centre des Restos du Coeur à Vitry-sur Seine accompagné de Bruno Lemaire et de Roselyne Bachelot. Certaines mauvaises langues comme Perrico diraient que c'est pour se faire mousser à quelques mois des élections. Mais, en réalité, ce n'est sans doute pas le cas. Même qu'au lieu d'aller ensuite se goinfrer dans un restaurant de renom, ils ont sans doute grignoté sur le pouce un casse-croûte tout en faisant le bilan de la visite et en élaborant un plan de relance pour les Restos du Coeur. Il faut dire que les temps sont durs pour les Restos du Coeur avec un nombre de bénéficiaires qui a augmenté de 25 % en 3 ans, et une politique anti sociale ( baisse de 35 % des hébergements d'urgence, supression de 500 nuitées hôtelières).

  Comme feu son père Kim Jong-Il, kim Jong-Un a le pouvoir de déclencher la bombe atomique. Derrière ses airs de gros poupon, il soigne un culte de la personnalité digne des plus grands et se fait appeler "brillant camarade". Certains diraient qu'il pète plus haut que son ... . Espérons qu'il ne s'assoira pas sur la paix en Corée du Nord, car, vu son embonpoint, ça risquerait alors de faire des dégâts !

Mercredi 17 décembre, Omar Sy est invité à un repas à l'Elysée avec l'équipe de tournage du film à grand succès, "Les intouchables". Selon son entourage, il a décliné l'invitation pour éviter des récupérations politiques. Si c'est vrai, alors, respect Omar Sy ! Ce serait un magnifique pied de nez à Sarkozy qui ne rate aucune occasion pour se faire mousser. En fait notre président rêve d'un succès en 2012 à la hauteur de celui que connait le film "Les intouchables".

La voilà cette fameuse règle d'or qui va faire rentrer nos gouvernants dans les rangs. Il faut dire que la pression des agences de notation, comme Standard § poor's, est forte. Ils sont tous là, à marcher à la baguette comme de simples moutons. C'est le temps des restrictions. Les petits écarts (comme un simple brin d'herbe) ne sont plus autorisés.

 N'y a-t-il pas d'autre alternative que celle dictée par les pouvoirs financiers ?

Voici un monde rural sinistré. Le manque de commerces et services (transports, pharmacies, médecins, poste, écoles ...) rendent la vie compliquée d'autant plus que la population est vieillissante. La politique menée actuellement par le gouvernement accroit encore les difficultés. Tout est question de rentabilité. Combien, par exemple, d'écoles rurales, se sont retrouvées fermées ces dernières année. Même chose pour les hôpitaux où il y a concentration des services sur quelques grandes unités. Et on pourrait encore multiplier les exemples . Encore une fois, l'argent passe devant l'humain !